La recherche fondamentale comme elle peut l’être dans les CEA, CNRS, ESRF et autres organismes de recherche comme le CERN par exemple utilisent généralement des matériaux « nobles » aux propriétés physiques et chimiques qui sortent de l’ordinaire.
C’est pourquoi l’inox est un matériau courant dans ces secteurs d’activité. In fine, il en va de même pour les raccords, les vannes et autres accessoires de tuyauterie, eux aussi en inox.
Il arrive parfois que le titane, l’hastelloy, le monel, l’inconel, le duplex ou super duplex soient préférés à l’inox, seulement leurs coûts d’achats et leur usinabilité dégradée les réservent à des projets ciblés dont le périmètre est limité.
Du coup l’inox reste l’un des matériaux les plus apprécié et répandu en recherche et dans le nucléaire à la fois pour sa résistance chimique et son amagnétisme (inox austénitique).
Les raccords, les vannes et autres accessoires de tuyauterie inox permettent de véhiculer des produits corrosifs sans craindre une catastrophe humaine ou une pollution environnementale. De la même façon, ils permettent aussi de maintenir les fluides à l’abri des ambiances corrosives et polluants extérieures et ainsi éviter de polluer les produits eux-mêmes.
Finalement et c’est ce qui rend l’inox et les accessoires de tuyauterie inox si attractifs dans la recherche, son amagnétisme lui permet d’être utilisé dans des zones au champ magnétique important sans risques de perturbations.